objectif : transmissions
Parmi les missions que s’est fixé l’association AFIVAM, organisatrice du festival What A Trip ! en Occitanie, la transmission (de valeurs, de compétences, de messages…) est la première. Cela se traduit depuis 7 ans par des projections pédagogiques, un prix des scolaires, des séances de médiation culturelle pour les publics scolaires de zones prioritaires et depuis cette année, par la mise en place d’un partenariat avec l’Université Paul Valéry de Montpellier. Après le primaire, le collège et le lycée, place au supérieur !
LE jury et le prix étudiant
Un jury spécial, composé de 6 étudiant.e.s en Master 2 Métiers de la diffusion du cinéma et de l’audiovisuel aura pour mission d’assister aux projections des films en compétition et de délibérer pour remettre le tout premier prix étudiant de What A Trip ! en Occitanie. Ce prix sera doté de 500€ et sera remis lors de la cérémonie de clôture du festival. L’objectif est d’immerger les étudiants dans la peau d’un jury jugeant une production audiovisuelle sur de nombreux critères.
En parallèle au jury officiel du festival
Cette mission, les étudiants sélectionnés la mèneront en parallèle au jury officiel du festival, présidé par Nans Thomassey (Nus et culottés). Ils pourront ainsi échanger avec eux lors de moments informels sur le festival.
Une masterclass de Stéphane Dugast
Stéphane Dugast, réalisateur, écrivain, aventurier, secrétaire général de la
Société des Explorateurs français, donnera une Masterclass exclusive aux
étudiants le jeudi 28 septembre à 17h sur le village du festival. Ce moment
d’échange sera l’occasion pour les étudiants d’échanger et d’obtenir des confidences de l’auteur et réalisateur à propos de son parcours cinématographique et des techniques de réalisation.
conférence sur les ressources en eau
Une conférence d’Alexandre Brun sera également proposée le jeudi 28 septembre à 18h dans la salle des colloques du site de Saint Charles.
La France est encore présentée comme l’un des châteaux d’eau de l’Europe. Ce n’est pas faux. Et pourtant, au fur et à mesure que s’affirme le réchauffement climatique, les inondations succèdent aux sécheresses, des cours d’eau autrefois abondants, se mettent à couler de façon plus aléatoire tandis que l’état écologique des grandes masses d’eau devient préoccupant en raison des pollutions et d’un aménagement parfois irrationnel de nos territoires.
Dans ce contexte, quelles stratégies peuvent encore nous permettre de préserver notre ressource en eau ? Faut-il tout miser sur la technologie ou s’appuyer sur les capacités d’adaptation de la nature ?
Après un nouvel été caniculaire, Alexandre Brun, enseignant chercheur à l’Université Paul-Valéry nous apporte quelques éléments de réponse.
Alexandre Brun est Maître de Conférences HDR et responsable du master PROJET au sein du département Géographie et Aménagement de l’Université Paul-Valéry Montpellier 3.
Il est également membre du laboratoire de géographie et d’aménagement de Montpellier (LAGAM), membre du centre UNESCO ICIREWARD de l’Université de Montpellier et membre associé de l’Institut en environnement, développement et société de l’Université Laval au Québec.