il était une fois dans l’est, sur les routes de la soie

Film en compétition officielle

Il était une fois dans l’est

Dimanche 26 sept. 2021 – 11h00
Salle Rabelais

un film de Julien et Sébastien Perret

Production : Autoproduit
Durée : 52 minutes
Pays : Asie centrale

S'y rendre

27 Boulevard Sarrail, 34000 Montpellier
Tramway : ligne 1 arrêt Comédie ou Corum 
Voiture : Parking Comédie

SYNOPSIS

SYNOPSIS

Il était une fois dans l’est, sur les routes de la soie

Deux cousins partent pour un voyage initiatique sur les routes de la soie à la rencontre des populations d’Asie centrale. Ils organisent au fil de leur périple des projections de film et des échanges de dessins pour les enfants et les familles. L’image devient alors un vecteur de lien et de partage pour dépasser les barrières de la langue. Du désert kazakh aux pics enneigés du Kirghizistan, ces rencontres qui jalonnent leur route les amènent à pleinement se rendre compte du pouvoir et de la beauté de la confiance.

 

À propos de Sébastien Perret

Il était une fois dans l’Est – Sur les routes de la soie est un film documentaire qui retrace notre périple à la rencontre des populations d’Asie centrale. Pendant un mois, du désert kazakh aux pics enneigés du Kirghizistan, notre route a croisé le chemin de femmes, d’hommes et d’enfants avec qui nous avons partagé des moments uniques et émouvants. Plutôt que de se focaliser sur l’aventure sportive en Lada Niva, le film propose une immersion spontanée au cœur du quotidien des familles rencontrées. Nous avons voulu représenter avec sincérité et authenticité, la confiance réciproque, celle que l’on accorde à celui ou celle que l’on ne connaît pas encore, sans laquelle ces rencontres merveilleuses n’auraient pas été possibles.

En savoir plus sur le film…

Le tournage s’est déroulé de manière très instinctive, nous n’avions rien prévu, pas de plans déjà établis, pas de début ou de fin, aucune voix off écrite en amont, notre travail consistait à nous rendre disponible et à témoigner de ce que nous vivions avec le plus d’authenticité possible. Les seuls plans plus classiques que l’on filmait (des interviews de nous-mêmes après les ateliers dessins et les projections) nous les avons finalement supprimés car ils figeaient l’action et expliquaient ce que l’on venait déjà de voir et de ressentir. 

On ne peut pas vraiment parler d’un tournage mais plutôt d’un mode de voyage en tournage constant. Les deux, voyage et tournage, étaient indissociables : on filmait tout, tout le temps. Peut-être par peur de louper une scène majeure que l’on aurait voulu raconter. 

Je crois que cette grande spontanéité dans ce tournage est justement palpable dans notre film, et c’est quelque chose dont on est assez contents.

Le film en images…

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