Jardin de l’office de tourisme de Montpellier
du 25 septembre au 18 octobre 2023
Méditerranée, la face immergée des volcans
Une expo de laurent ballesta
Du 25 septembre au 18 octobre
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du lundi au samedi de 10h à 13h et de 14h à 18h,
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dimanche de 10h à 13h et de 14h à 17h
pas de fermeture entre 13h et 14h les 29/09, 30/09 et 01/10)
S'y rendre
Office de tourisme de Montpellier – 30 Allée Jean de Lattre de Tassigny, 34000 Montpellier
Tram ligne 1
En partenariat avec
L’expo
L’expo
Du nord de la Sicile à la Baie de Naples, une expédition scientifique conduite par Francesco ITALIANO, vulcanologue italien et l’équipe de plongeurs en profondeur de Laurent BALLESTA va étudier les volcans en explorant le fond marin plus de 100m sous la surface.
Ils vont sonder les pentes englouties de la Méditerranée à la recherche d’indices sur le fonctionnement de ces montagnes de feu cachées sous la surface, ils découvriront des écosystèmes rares et mystérieux et des sources d’énergie auparavant inaccessibles. Cette aventure inédite pourrait permettre à la science d’anticiper le réveil de volcans parmi les plus menaçants au monde.
A propos de Laurent Ballesta
Au fil des années, Laurent Ballesta s’est imposé comme une des figures les plus emblématiques de la photographie naturaliste et sous-marine. Biologiste, il est bien sûr un plongeur hors-pair, féru des conditions les plus extrêmes de la pratique, moins par goût du danger que pour accéder aux mystères de profondeurs jusqu’alors restées inaccessibles.
Chacune de ses expéditions est un défi technique pour lui permettre de dépasser un peu plus à chaque descente les limites physiques du corps et de la matière liquide, et avancer encore plus loin et plus longtemps dans l’espace de la zone crépusculaire. Explorer et rapporter des images inédites qui mêlent approche esthétique et scientifique : la plongée et la photographie sont, depuis ses débuts à 13 ans, intimement liées.
Parfois, ses photographies semblent tenir de l’abstraction, faites de transparences et de structures formelles singulières. Surtout, ce sont les couleurs qui subjuguent, autant celles des décors naturels que celles de certains spécimens rares : des « moments de grâce » offerts par la beauté spectaculaire d’une planète extraordinaire, comme le souligne Laurent Ballesta, qui se rêvait « océanaute » et ne cesse d’espérer encore que « la beauté sauvera le monde ».
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